Un quart de siècle après la substitution des génériques, celle des biosimilaires s’apprête à décoller, mais avec quelques retards à l’allumage. Source d’économies pour le système de santé et de revenus pour l’officine, plébiscité par 76% des pharmaciens, l’élargissement de la substitution biosimilaire est désormais encadré par la loi. « Une grande avancée » selon Laurent Filoche, président de l’Union des Groupements de Pharmaciens d’Officine (UDGPO), même si la mise en œuvre ne sera pas aussi automatique que pour les génériques. Décryptage.